'''Étape 3.''' <br /><br />La matière est faite de particules minuscules dont certaines ont ce qu’on appelle une charge électrique. Les charges de même signe se repoussent alors que les charges de signe opposé s'attirent.<br /><br />Toutes les matières sont normalement électriquement neutre, c'est-à-dire qu'elles possèdent le même nombre de charges positives (protons) et négatives (électrons). Seuls les électrons peuvent être arrachés à la matière. Certaines matières "retiennent" leurs électrons mieux que d'autres.<br /><br />Par exemple, en frottant le ballon de baudruche sur tes cheveux, tu le déséquilibres électriquement, c'est-à-dire que des charges négatives (électrons) sont arrachées des cheveux et récupérées par le ballon. '''On dit que le ballon se charge en électricité statique'''. Grâce à cette électricité statique, si tu approches le ballon des billes de papier aluminium, celles-ci se chargent à leur tour et il se crée alors un phénomène de force électrostatique.<br /><br />Les billes d'aluminium vont transporter les charges négatives du ballon vers la feuille de papier d'aluminium, en faisant un va-et-vient jusqu'à ce que les matières redeviennent à peu près équilibrée électriquement.<br /><br /><br />'''Étape 4.''' <br /><br />Dans l’expérience tu as pu observer la réaction entre des billes d’aluminium et un ballon chargé en électricité statique. Les billes d’aluminium sont attirées par le ballon et viennent s’y fixer. C’est le même principe que l'on peut observer pour certains grains de pollen et certains insectes pollinisateurs comme le bourdon et l’abeille. '''En volant, leurs ailes battent si rapidement que des charges positives apparaissent à la surface de leurs corps'''. Les fleurs et les grains de pollen quant à eux sont généralement chargés négativement. Ainsi, lorsque les insectes se posent sur une fleur, '''du pollen est attiré par le corps de l’insecte qui est chargé positivement.''' Certains grains de pollen viennent s'accumuler sur l’insecte et s’accrochent aux poils. <div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Billes sauteuses Annexe 8.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg" class="image"><img alt="Billes sauteuses Annexe 8.jpg" src="/images/thumb/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg/240px-Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg" width="240" height="198" srcset="/images/thumb/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg/360px-Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg 1.5x, /images/thumb/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg/480px-Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg 2x" data-file-width="1692" data-file-height="1394" /></a></div></div></span></div>
Les milieux naturels décrits dans cette activité sont très différents les uns des autres, et notre planète en abrite bien d'autres encore. Tous peuvent accueillir la vie, mais pas dans les mêmes conditions.
'''Exemple :'''
* Les '''récifs coralliens''' et les '''forêts tropicales''' hébergent une grande diversité d’espèces.
* Le '''désert saharien''' ou le '''pôle Nord''', en revanche, abritent moins d’espèces.
Cela s'explique par les '''conditions environnementales''' propres à chaque milieu.
* '''Dans les forêts tropicales et les récifs coralliens :''' La température y est stable et clémente toute l’année, la lumière du soleil est abondante, et l’eau est présente. → Cela favorise la croissance des plantes, la présence de nourriture et donc le développement de nombreuses espèces.
* '''Dans les déserts :''' Il fait très chaud le jour, très froid la nuit, et l’eau est rare. → Peu d’espèces peuvent y survivre.
* '''Aux pôles :''' Il fait très froid toute l’année et la lumière manque durant de longues périodes. → Ces conditions extrêmes limitent le développement de la vie.
Chacun de ces milieux de vie est ce qu’on appelle un '''écosystème''' dans lequel des êtres vivants interagissent entre eux (chaînes alimentaires, entraide, compétition...) et avec leur environnement non vivant (sol, climat, eau, roches…).
À grande échelle, certains écosystèmes sont appelés '''biomes'''. Ce sont des ensembles vastes, définis par un climat dominant et une végétation caractéristique.
Voici quelques exemples de biomes :
À grande échelle, certains écosystèmes sont appelés '''biomes'''.
Quelques exemples de biomes :
* Forêt tropicale
* Toundra
* Savane
* Prairies tempérées
* Abysses
Les espèces animales et végétales varient selon les milieux. Certaines, bien qu’apparentées et d'apparence proche, se sont adaptées différemment à leur environnement.
'''Exemple :'''
Le fennec (désert), le renard polaire (régions froides) et le renard roux (zones tempérées) appartiennent à la même famille (canidés) et au même genre (Vulpes). Ils ont évolué en s’adaptant à leur habitat.
'''''L'espèce humaine : une espèce présente dans presque tous les milieux.'''''
Nous remarquons que l’espèce humaine est présente dans presque tous les milieux. Elle a su s’adapter à différentes conditions de vie, notamment en utilisant les ressources de la biodiversité. Quels que soient ces milieux, l’humain entretient des liens étroits avec les espèces qui y vivent.
L’espèce humaine vit aujourd’hui dans presque tous les écosystèmes de la planète. Elle s’est adaptée à différentes conditions grâce à son intelligence et à l’utilisation des ressources naturelles.
'''Exemples de modes de vie liés au milieu :'''
* Pêcheurs ou plongeurs dans les récifs coralliens
* Pasteurs nomades dans le désert
* Chasseurs au pôle Nord
* Indiens d’Amazonie utilisant la forêt pour se nourrir, se soigner, se vêtir ou construire
Bien que présentant une morphologie commune (une tête, deux jambes, deux bras, deux oreilles, un nez...), les humains peuvent se différencier sur une multitude de caractères physiques comme la couleur des cheveux, des yeux, la présence de fossettes, la forme du nez, la taille...
Et même au sein d'un même caractère, cheveux blonds par exemple, les individus aux cheveux blonds diffèrent fortement les uns des autres par une grande diversité d'autres caractères (taille, lobe des oreilles, couleur des yeux...).
'''Qu’est-ce qui rend chaque individu unique ?''' Même au sein d'une famille biologique, les parents et les enfants auront certains caractères physiques communs (par exemple couleur des yeux, forme des cheveux… hérités des parents, donnés aux enfants) mais il n’y aura pas d'individus identiques (à part les vrais jumeaux, sur le plan génétique).
Chaque individu possède '''un mélange''' '''de caractères physiques issus des parents qui le rend unique''', différent de tous les autres individus de la même espèce. +
L'objet réalisé sera biodégradable et à usage unique. Il est composé de produits naturels (amidon de maïs, eau, huile et vinaigre) qui n'impacteront pas l'environnement. +
Les cartes contenues dans les blocs font chacune référence à une ligne de commande spécifique pour le Petit Bot. Le module RFID analyse la carte la plus plus proche et la traduit en action. Ces actions sont compilées jusqu'au déclenchement du programme grâce au buzzer. +
Le bon état écologique se définit à l’aide des différents sous-critères :
- Critères biologiques (présence/absence d’organismes végétaux et animaux considérés comme bioindicateurs) ;
- Critères hydromorphologiques (naturalité/artificialisation du milieu et des processus qui y sont à l’œuvre) ;
- Critères physico-chimiques (toxicologie…) ;
- Indices de qualité tels que l’indice biologique ou les indices basés sur les macro-invertébrés.
Pour chaque masse d’eau, l’état écologique est qualifié selon cinq classes : très bon, bon, moyen, médiocre et mauvais.
Dans tous les cas, il est caractérisé par l’écart aux conditions de référence. Ce référent correspond à la classe « état très bon » attribué lorsque les conditions sont représentatives d’une eau de surface pas ou très peu influencée par l’activité humaine.
Les signes d’impact des activités humaines sont visibles dans les différents sous-critères :
- Absence de certaines espèces emblématiques ;
- Modification de la morphologie des cours d’eau ;
- Présence de pollution dans les eaux ;
- Indices biologiques avec des notes dégradées ;
- … +
L'air présent dans la bouteille est réchauffé lorsque tu tiens la bouteille avec tes mains.
L'air chaud prend plus de place que l'air froid, on dit qu'il se dilate.
Il n'y aura donc plus assez de place pour l'air dans la bouteille, il cherchera alors à sortir de la bouteille ce qui va soulever le bouchon et donner l'impression qu'il saute. +
Lorsque le bicarbonate entre en contact avec le vinaigre il se produit une réaction chimique qui libère du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>). Rapidement le CO<sub>2</sub> va occuper tout le volume du bocal chassant alors l'air initialement présent. L'air contient du dioxygène (O<sub>2</sub>) indispensable pour la flamme. Le bocal ne contenant plus que du CO<sub>2</sub>, la flamme est privée de dioxygène et s'éteint. +
Lorsque l'on souffle simplement dans le goulot, l'air n'est pas dirigé : il touche la boulette, mais également le fond de la bouteille. Cela entraîne une surpression dans la bouteille (on ajoute de l'air à celui déjà présent dans la bouteille). La surpression entraîne l'éjection de la boulette vers l'extérieur.
Lorsque l'on utilise une paille pour souffler sur la boulette, l'air est dirigé directement vers celle-ci. Il n'y a pas de surpression dans la bouteille : la boulette n'est pas chassée vers l'extérieur, et peut donc entrer +
En frottant le trombone avec l'aimant, l'aimant donne au trombone une particularité que l'on appelle le magnétisme. Cela permet aux objets dits "magnétiques", d'indiquer la position d'objets tels que les aimants. Le trombone ainsi magnétisé indique le nord de notre planète !
On met le trombone avec le liège sur l'eau pour permettre au trombone de se déplacer librement. +
L'huile a la même densité que le mélange d'eau et d'alcool, ce qui veut dire qu'un volume d'huile et un même volume du mélange ont une masse identique.
L'huile flotte au milieu et prend une forme ronde, car elle est entourée par le mélange auquel elle ne peut pas se mélanger, et la forme ronde est celle qui permet à l'huile d'être le moins possible en contact avec le mélange.
Un liquide lancé hors de son récipient dans une station spatiale réagit de la même manière en prenant la forme d'une boule qui flotte. +
Certaines de ces phrases sont des idées reçues, que l'on appelle aussi des « stéréotypes ».
'''Tous les humains utilisent ces types de raisonnements (les stéréotypes), qui n'ont pourtant aucun fondement (ils ne s'appuient pas sur des choses concrètes). Nous nous rendons compte qu'ils ne sont pas vrais, pourtant nous les utilisons, nous les répétons, nous en fabriquons, sans le vouloir.'''
Ça peut être dangereux de les utiliser, ça peut avoir des conséquences, nous verrons pourquoi. Mais dans un premier temps, nous allons voir pourquoi ils existent et comment ils sont créés. +
Si la canette est vide, on ne peut pas la faire tenir en position inclinée, elle tombe systématiquement. De même, lorsqu'elle est pleine. Le "truc" s'est de mettre la bonne quantité d'eau pour qu'il y ait autant d'eau de chaque côté de l'axe de rotation vertical qui passe par le point sur lequel la canette tient en équilibre. L'eau que l'on ajoute dans la canette est un poids. Pour que la canette tienne en équilibre il faut que ce poids soit également réparti, comme pour l'équilibre d'une balance, et c'est seulement à cette condition que le centre de gravité de la canette est situé sur l'axe de rotation vertical. Dès lors que le poids n'est pas également réparti, le centre de gravité de la canette n'est plus situé sur cet axe, et la canette tombe. +
'''<u>Étape 3</u>'''
* La coupe horizontale montre des petits ronds colorés, la coupe verticale, des lignes colorées : '''l'eau colorée a été transportée par les petits tubes contenus dans la plante, appelés « vaisseaux capillaires ». Ce mode de transport d'un liquide''''' (montée naturelle d’un liquide dans des tous petits vaisseaux)'' '''est appelé <u>capillarité.</u>'''
* La buée observée dans le second sac plastique est formée par l'air emprisonné. Ce sac sert de témoin à l'expérience. Les gouttes observées dans l'autre sac, plus nombreuses et plus grosses, proviennent un peu de la buée (comme dans le sac témoin), mais surtout de la feuille. '''L'eau s'évapore donc des feuilles dans l'air : c'est <u>la transpiration de la plante</u>'''. Ces gouttes d'eau sont transparentes : la plante a stocké les pigments colorés et a restitué une eau pure.
'''<u>Étape 4</u>'''
* Le papier (représentant la racine) a absorbé l'eau contenue dans le sol (mélange d’argile et de sel), qui s'est déversée dans second verre (représentant la plante). Dans son trajet, l'eau a entraîné avec elle tout ce qui pouvait passer par les trous minuscules du papier. C'est pourquoi nous retrouvons le sel, dissout dans l’eau, mais pas l’argile. '''De la même manière, les racines servent aux plantes pour absorber l'eau et différents minéraux du sol.'''
'''Les végétaux jouent un rôle important dans le cycle de l'eau. La transpiration couplée au phénomène de capillarité permet à l'eau de circuler à travers les plantes et d'être évaporée dans l'atmosphère. La plante peut ainsi se nourrir, mais aussi capter certains polluants et les stocker ou les dégrader.'''<span></span> +
=== '''De manière simple''' ===
Il s'agit d'un capteur numérique : le capteur est en fait uniquement la partie du milieu qui est sensible a la pression et la température. Les valeurs sont ensuite renvoyées à l'arduino par les broches A4 et A5. Les fonctions de la librairie permettent ensuite de récupérer des valeurs concrètes sans avoir besoin de faire des calcules. +
=== '''De manière simple''' ===
Une pression est effectuée sur le capteur, suite à cet effort un certain nombre de LEDS s’allume.
L’allumage et le paramétrage des LEDS se programment grâce au logiciel ARDUINO.
* Que se passe-t-il quand toutes les LEDS sont allumées ?
=> L’effort de pression est trop important pour le capteur, il faut donc vérifier que le capteur a une fourchette de pression assez importante pour assurer le bon fonctionnement de ce montage. +
Après avoir été frottée contre un vêtement, la paille possède des propriétés statiques : elle est chargée <u>négativement</u>. En l'approchant d'une des plaques, elle permet la répartition des charges positives et négatives sur l'ensemble du montage, ce qui a pour conséquence d'attirer d'un côté ou de l'autre la boule d'aluminium.
Le polystyrène est important car il sert d'isolant, afin que les électrons ne se déplacent pas n'importe où. +
Les Systèmes d'Informations Géographiques sont des outils puissants pour représenter de nombreuses données.
Certaines de ces données sont visibles depuis le ciel ou par satellite, d'autres sont collectées par des campagnes de mesures sur le terrain.
L'hydrosphère représente l'ensemble de l'eau d'un territoire, sous toutes ses formes. Une partie de l'eau d'un territoire est visible, mais une autre est souvent cachée.
Bien que deux cours d'eau d'un même territoire paraissent indépendants, ils sont souvent connectés. Parce qu'ils se jettent dans le même fleuve ou parce qu'ils sont alimentés par les mêmes évènements météorologiques.
Un exemple simple : mon voisin et moi possédons chacun un puits. Ils paraissent indépendants, mais en réalité ils donnent accès à la même nappe souterraine. Si l'un de nous y pompe trop d'eau, les deux finiront à sec.
C'est pourquoi une approche par hydrosphère, plus complète, est préférable. +
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