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C
C’est grâce au phénomène de la capillarité que les plantes peuvent s’hydrater, l’eau aide la sève a monter le long du tronc et des branches. On peut aussi voir le phénomène de capillarité lorsqu'on trempe le sucre dans son café par exemple. La chromatographie est une technique utilisée pour séparer certains composants (et pas seulement des colorants !) d'un liquide ou d'un gaz en le faisant migrer sur un support solide à l'aide d'un produit appelé éluant (eau, éthanol...). On retrouve la chromatographie lorsqu'on trempe une feuille ou du sopalin avec des couleurs dans de l'eau <br/>  +
* Chute d'un objet sur un sol meuble (sable/terre) * Lien avec la disparition des dinosaures (Cratère de Chicxulub)   +
On trouve des applications de montages en série ou en parallèle dans de nombreux domaines. Par exemple, brancher deux interrupteurs en série crée un système de va-et-vient. Interdit aujourd'hui, le système d'interrupteurs en va-et-vient fut très utilisé dans la construction. Autre exemple : dans les éclairages, on branche les lumières en parallèle afin de ne pas diviser la tension de la source entre toutes les lampes, pour obtenir un éclairage aussi puissant pour chaque lampe. <br/>  +
Comme dit précédemment, le capteur GPS, installé dans son socle, vous localise et indique le jour de ramassage des poubelles en fonction de votre quartier. Une lumière orangée, douce et progressive, se déclenche la veille du passage des ordures ménagères, elle sera verte lorsqu’il sera temps de sortir le tri sélectif. Une fois votre bac déposé, il vous suffira d’appuyer sur le dessus de votre CleanTime, pour que le rappel coloré s’éteigne. Un bruit discret, rappelant le pressage d’un déchet, illustrera alors la dimension poétique de la création.  +
Le coefficient de ruissellement varie beaucoup selon l’usage et la végétation d’un sol. On estime que 5% de l’eau qui tombe sur une forêt ruisselle, contre 25% sur un champ cultivé [3]. Et dans nos villes alors ? Les toits de nos habitations n’absorbent pas l’eau, bien au contraire, leur coefficient de ruissellement est de 100% ! Globalement, le coefficient de ruissellement en ville dépasse 90%. Lorsque nous construisons nos habitations ou nos routes, nous créons des surfaces imperméables (étanches) pour l’eau. Lors de fortes précipitations, celle-ci est alors contrainte de ruisseler. Les petites surfaces qui ne sont pas recouvertes ne suffisent généralement pas à absorber toute l’eau qui tombe sur toute la zone. L’eau continue de ruisseler et s’accumule, c’est l’inondation ! On estime qu’en 2010, presque 9% de la surface de la France était artificialisée (c’est à dire utilisée par l’homme, d’une manière ou d’une autre), dont 5% totalement imperméables (habitations, routes, etc.) [2] ! L’artificialisation des sols continue en France ! Dans la majorité des cas (90% entre 2000 et 2006, [1]), ce sont d’anciens sols agricoles qui sont artificialisés. Ceux-ci ne sont alors plus capables d’absorber et de filtrer l’eau. Aujourd’hui, lorsque que l’on souhaite créer de nouvelles zones d’habitations, on est obligé de prendre en compte le ruissellement. Une solution souvent utilisée est de créer un “bassin de rétention”, qui va pouvoir accueillir toute l’eau qui ruisselle et éviter les inondations. Celui-ci a un coefficient de ruissellement très faible, voire nul, d’abord parce qu’il est en forme de cuvette (l’eau ne peut pas s’en échapper), mais aussi parce que son sol est très perméable, comme du sable.  +
Pour des raisons matérielles que je n'ai pas vraiment comprises, les électroniciens utilisent les résistances de pullup plutôt que des résistances de pulldown. Si quelqu'un a une explication, les commentaires sont ouverts !  +
Cela fait des années que l'homme utilise des lentilles ou des miroirs pour "dompter" la lumière.<br /><br /><br />- C'est ainsi que l'on peut voir des objets très éloignés, grâce à des télescopes.<br />- C'est ainsi que l'on peut voir des objets très proches, grâce à des microscopes.<br /><br />- C'est ainsi que l'on peut corriger la vue des gens avec des lunettes ou des lentilles.<br /><br /><br />Nous voyons les objets, les personnes, le monde, car nous percevons la lumière qu'ils reflètent ou émettent.<br /><br />La lumière passe dans le cristallin (la petite lentille bleue), puis se concentre sur notre rétine (la paroi de l'oeil). Lorsque l'on a des problèmes de vues (lorsque l'on est myope ou hypermétrope par exemple), la lumière se concentre en général avant ou plus loin que la rétine : l'image perçue n'est alors pas nette. <br /><br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Group-Jouer avec la lumiere vue.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/3/35/Group-Jouer_avec_la_lumiere_vue.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Group-Jouer_avec_la_lumiere_vue.jpg" class="image"><img alt="Group-Jouer avec la lumiere vue.jpg" src="/images/3/35/Group-Jouer_avec_la_lumiere_vue.jpg" width="660" height="360" data-file-width="660" data-file-height="360" /></a></div></div></span></div>C'est pourquoi, lors de troubles de la vision, nous utilisons des lentilles (lunettes ou compactes) pour corriger la propagation de la lumière dans l’œil.. <br /><br /><br/>  +
Le réseau trophique est indispensable à toute vie, dans les océans et sur Terre. Bien le connaître permet de comprendre comment fonctionne la vie sur Terre. C'est à partir de ce réseau que s'établissent les interactions entre les espèces animales, végétales et leur environnement, mais pas seulement. Il existe de nombreux types d'interactions dans le monde vivant - autres que la prédation - bénéfiques ou non pour les espèces concernées. C'est le cas du mutualisme (bénéfices réciproques entre deux espèces), de la symbiose (bénéfices réciproques et liens vitaux entre deux espèces), du commensalisme (bénéfices non réciproques, mais non nuisibles) et du parasitisme (bénéfices non réciproques et nuisibles). La fragilisation des organismes marins à squelette calcaire pourrait modifier les écosystèmes marins et la disponibilité en ressource de poissons et de coquillages. Or aujourd'hui, plus d'un milliard de personnes à travers le monde trouvent leur première source de protéines dans les espèces marines dont ils se nourrissent, tout comme différentes espèces terrestres (oiseaux...). De plus, de nombreux emplois et économies locales sont liés à la pêche et aux coquillages. L'acidification des océans pourrait donc toucher bien plus que les organismes marins. Sans parler du rôle fondamental du plancton comme principal fournisseur d'oxygène pour la planète et les êtres humains, mais aussi comme puits à carbone indispensable pour atténuer nos émissions de gaz à effet de serre dans l'atmosphère !  +
Plus de 95% des espèces d’un habitat naturel (aquatique ou terrestre) sont fortement liées les unes aux autres, via les réseaux trophiques. Cette proximité des espèces signifie que la disparition d’une espèce peut avoir d’importants impacts sur les autres espèces et donc sur le fonctionnement même de l’écosystème. Par exemple, les grands prédateurs (loup, rapaces, thon...), au sommet de ces réseaux trophiques, ont un effet de maintien de la biodiversité. S'ils disparaissent (surchasse, surpêche…), les espèces dont ils se nourrissaient et qu’ils régulaient vont pulluler. Par compétition, elles éliminent alors d’autres espèces avoisinantes, ce qui entraîne une cascade de conséquences. À l’inverse, ces interactions montrent également que si nous voulons protéger une espèce dans un milieu donné, il est indispensable de prendre en considération toutes celles qui font partie de son réseau trophique, donc ses proies (et ce qui les nourrit) et ses prédateurs, sans lesquels l’espèce peut vite devenir envahissante. Ce fut par exemple le cas du lapin en Australie. En 1859, Thomas Austin importe de Grande-Bretagne 12 couples de lapins. 50 ans plus tard, l’île en compte 600 millions qui ont colonisé 60% du territoire ! Cette espèce est devenue envahissante, car il n'y avait pas sur l’île de prédateurs suffisamment puissants pour réguler la population de lapins. Leur prolifération a contribué largement à la désertification de l’île (ils ont dévoré la végétation) et se trouve à l’origine de graves crises agricoles et écologiques.  +
Nous venons de voir que pour protéger des espèces, il faut apprendre à bien les connaître. Pour découvrir par toi-même quelques-uns de ces habitants du sol, découvre le programme de sciences participatives Jardibiodiv :<u>http://ephytia.inra.fr/fr/C/25121/jardibiodiv-Procedure-d-observation-du-Jardinier-Amateur</u> Tu pourras ainsi, grâce à des protocoles d’observation faciles à réaliser (présentés également dans le wikidebrouillard : [[piéger la faune du sol]] ; bloc de sol (prochainement) ; [[Aspirateur à bestioles|aspirateur à insectes]] ...), attraper et identifier les petites bêtes qui se cachent dans ton jardin, ou dans le parc à côté de chez toi !  +
Cette expérience permet de tester et d'identifier quels matériaux peuvent être utilisés pour conduire le courant ou s'en protéger. Les matériaux conducteurs comme le cuivre ou l'aluminium sont utilisés notamment dans les fils électriques. Les matériaux isolants, comme le caoutchouc, le plastique ou le bois, sont utilisés comme protection contre le risque l'électrocution, par exemple pour recouvrir les fils électriques et les câbles de batteries, pour fabriquer les cache-prises ou encore les manches des tournevis. <br/>  +
Du fait de la rotation de la Terre, les courants marins créent des tourbillons dans les océans, que l’on appelle aussi vortex ou gyres océaniques. Ces courants vont avoir tendance à regrouper, rassembler les déchets plastiques flottants, sur de très grandes surfaces au milieu des océans. Il existe plusieurs zones différentes d'accumulation des déchets dans nos océans. La plus grande se situe dans l'Océan Pacifique Nord, et recouvre 3 millions de km2, soit la taille de 6 fois la France ! On les appelle "continents plastiques" ou "7éme continent" en raison de leurs grandes tailles. Ces continents plastiques sont constitués de millions de déchets, parfois grands : les macroplastiques, dont la taille est supérieur à 5mm, mais aussi les microplastiques dont la taille est inférieur à 5mm. Ils s'accumulent sur une hauteur de 30m sous la surface. Ces plastiques ne vont pas disparaître, mais se fragmenter en particules de plus en plus fines, et ainsi se confondre avec la nourriture des oiseaux et des animaux marins. En les ingérant les animaux n'arrivent pas à digérer ces plastiques et finissent par en mourir. Ainsi, quand à notre tour nous consommons des poissons, des crustacés et des fruits de mer, nous consommons aussi des microparticules de plastique. Nous consommons du plastique tous les jours, car il est très pratique et peu coûteux, mais nous rejetons aussi un grand nombre de déchets dans l’environnement, dont la durée de vie est de plusieurs centaines d’années en ce qui concerne les plastiques. 80% des déchets présents dans la mer proviennent de la terre. La pluie, le vent, et les cours d’eau vont acheminer ces déchets sauvages jusqu’à la mer où ils vont s’accumuler au niveau des vortex des océans de manière durable. Si nous souhaitons réduire cette pollution, il est nécessaire de réduire notre utilisation du plastique afin de limiter les rejets dans l’environnement. Des alternatives existent pour réduire nos achats de matières plastiques, les réutiliser et les recycler afin de limiter les rejets dans la nature.  
Grâce à cela, on comprend pourquoi notre soleil est jaune. On peut par le suite essayer de comprendre pourquoi il y a deux couleurs dans une flamme. On observe également le même phénomène lorsqu'on met un allume-feu dans un barbecue : en fonction de la température, la flamme à une couleur différente.  +
Il existe de nombreuses techniques de chromatographie et leurs applications sont multiples, que ce soit en chimie analytique, en médecine, dans l'industrie ou encore dans la police scientifique. Ce procédé permet de connaître la composition d'un produit inconnu, de chercher la présence d'une substance dissoute et en mesurer la quantité. Par exemple on peut déterminer la quantité de caféine dans un médicament, ou quels acides aminés sont présents dans un aliment. On peut utiliser la chromatographie pour rechercher des traces d'hydrocarbures dans l'eau d'une zone de baignade ou encore prouver que la peinture trouvée sur une scène de crime est la même que celle de la voiture d'un suspect.  +
* Le [http://fr.wikipedia.org/wiki/Potentiel_hydrog%C3%A8ne pH] (potentiel hydrogène) sur Wikipédia * Les [http://fr.wikipedia.org/wiki/Indicateur_de_pH indicateurs de pH] avec les indicateurs de pH naturels * Mesurer l'acidité des sols : certaines plantes apprécient les sols acides, d'autres non.   +
Les humains sont de bons conducteurs : notre corps se compose à plus de 50% d'eau (salée !).  +
La plupart des villes sont construites à proximité d'une rivière ou d'un fleuve [4]. Historiquement, c'est la première source d'alimentation en eau potable. Les cours d'eau en ville sont très souvent canalisés pour limiter les risques d'inondation [5]. Dans la réalité, il existe une très grande diversité de rivières et de tronçons. Il est d'ailleurs difficile de différencier les portions de manière aussi catégorique. Par exemple, un tronçon droit ne sera jamais parfaitement rectiligne, sans pour autant former de longs méandres sinueux. Un méandre au contraire, est une succession de tronçons droits et de virages. Il peut être tentant de placer les éléments problématiques tout en amont ou tout en aval de notre rivière. Cela revient à déplacer le problème ailleurs que sur notre commune ! Des aménagements sur une portion de rivière pour répondre à une problématique peuvent en créer d'autres en aval. Par exemple, un canal pour limiter l'érosion en ville peut accélérer l'écoulement de l'eau et créer des inondations sur le lotissement qu'elle traverse, plusieurs kilomètres en aval. C'est pour cette raison qu'aujourd'hui les communes se regroupent (en syndicat mixte par exemple) pour avoir une gestion du cours d'eau cohérente tout le long du tracé [5,6].  +
Mais au fait, comment est fabriqué notre sel de table et notre gros sel ? À la loupe, tu peux observer la structure du sel. Le sel est fabriqué notamment dans les marais salants où on utilise le principe de cristallisation afin de récupérer le sel contenu dans l'eau de mer par évaporation. Au delà du sel, les cristaux sont présents dans notre vie de tout les jours : eau sous forme solide (neige, glace), bijoux (pierres précieuses), matériel d'entretien (cristaux de soude), alimentation (sucre), certains polymères (plastique), métal, etc. <br/>  +
Dans le vie de tous les jours, on peut évidemment s'amuser à lancer des projectile. Mais dans un aspect plus large, il est possible de modifier la catapulte afin d'y accrocher un stylo Veleda sur le bras (légèrement incliné). Lorsque la catapulte est en fonctionnement , avec la force centrifuge l'encre restante dans le stylo va se diriger vers le bas du stylo. Le stylo va alors de nouveau fonctionner.  +
Dans la vie de tous les jours ce type de mécanisme peut être utilisé comme jouet pour des enfants  +